Pour R. Barthes, l'image publicitaire est :
Décrire, verbaliser le message visuel :
Pour Barthes, l'image est hétérogène, et se compose de plusieurs matériaux :
Note : signe iconique et signe plastique : cf. le groupe Mu.
Le message visuel se compose de signes visuels :
Le support ou le genre est lui aussi porteur de signification.
R. Barthes propose, à la suite du formalisme russe (procédés), du structuralisme et de l'essor des sciences humaines un double apport de la rhétorique :
. | Signifiant | Signifié |
Signifiant | Signifié | . |
L'image fonctionne comme un système de signes* qui renvoie :
Selon J. Durand, la publicité est rhétorique car :
Pourquoi dire une chose à l'aide d'une autre ?
Selon J. Durand, dans la métaphore :
Biblio : Durand, le mot d'esprit.
Selon J. Durand, la figure de rhétorique est donc une transgression de norme :
Pour J. Durand, la fonction de la rhétorique publicitaire est la recherche du plaisir du spectateur :
C'est une rhétorique hédoniste où le style sert l'argumentation.
Les signifiants plastiques peuvent être :
Le support de la publicité peut :
Le cadre peut être ressenti comme une contrainte, il entraîne alors :
À l'inverse, l'effet de cadre resserre la représentation, invite à la profondeur.
La prise de vue (angle, choix de l'objectif) est déterminant pour :
Le photographe fait des choix qui concernent :
La géographie intérieure du message visuel permet :
Ex. : impression de chute ou dynamisme, droiture…
Pour G. Péninou distingue 4 types de construction :
Interpréter des formes suppose :
Les couleurs avec :
L'éclairage peut-être :
La texture comme signe plastique renvoie à :
Ex. : la peinture, troisième dimension d'un tableau.
L'analyse du message iconique concerne :
L'interprétation du message iconique suppose :
Pour comprendre les mécanismes d'interprétation, on observera :
La rhétorique est donc générale, pas seulement linguistique.