La communication est un code :
Biblio : Arnauld et Lancelot, Grammaire générale et raisonnée, II,I, republications Paulet, 1969, pp. 22-24.
Les logiciens philosophes du début du XXe, Frege, Russell, focalisaient leur attention sur :
Pour l'école d'Oxford, l'accent est porté sur :
Ainsi, la phrase ne véhicule une information que si elle permet à un locuteur de réaliser un acte : assertion, question…
John Langshaw Austin, représentant de l'école d'Oxford, distingue :
Pour Austin, les actes de langage ont lieu dans des circonstances appropriées.
Pour Grice :
Biblio : Grice, “Meaning”, in The philosophical review, 66, 1957, pp. 677-688.
Pour Grice, communiquer suppose :
Ainsi, la pensée est antérieure au langage. Notre comportement linguistique est dirigé par des intentions de signification.
Le linguiste Oswald Ducrot critique le modèle classique de la communication comme code :
Dans ses conférences sur John Locke, Grice remarque que dans une conversation :
Biblio : Grice, “Logique et conversation”, in Communications, 30, 1979, pp. 57-72.
Nos échanges conversationnels sont régis par des règles et des normes universelles qui s'imposent au locuteur rationnel :
Pour Sperber et Wilson : Ces auteurs décrivent le modèle du code :
Biblio : Sperber et Wilson, “Précis of Relevance : communication and cognition”, in Behavorial and brain sciences, 10, 1987, pp. 697-699.
Selon Sperber et Wilson, la théorie de Grice conduit au modèle inférentiel :
Écrire un court dialogue qui peut être compris différemment en fonction des contextes, les mettre en scène. Déterminer et décrivez :